Ainsi, à Bordeaux par exemple, notre scène musicale est particulièrement vivace et ce depuis longtemps.
En ces temps de vaches maigres pour nos artistes qui doivent notamment faire face à la montée en puissance des sites de streaming très peu rémunérateurs, ne serait-il pas temps de favoriser aussi notre production musicale locale ?
Enfin, ce qui est vrai à Bordeaux est vrai partout ailleurs : écouter local c’est découvrir un territoire avec ses oreilles, c’est s’immerger dans l’ambiance de la ville qui nous accueille.
Alors, après les locavores, que vivent les locaphones !